dimanche 27 février 2011

Sem 2011/09 - En Bref

   Les semaines c'est comme les séances, yen a des plus difficiles que d'autres. La super balade des 3D m'a bien saccagé les canes, et je paralyse de partout au début de semaine On passe pas d'1h30 à 3h30 de sortie sans quelques conséquences, surtout que je suis assez sujet aux courbatures. Comme pas mal de choses se bousculent, je n'ai pas non plus le temps de caser mon cours de piscine ou un footing qui aiderait à faire passer tout ça.

   Mercredi un p'tit check-up osteo. Yen avait besoin, cheville droite toutes verrouillées, les genoux à peine mieux, et la tête allouette. Quelques pechons, j'adore, et l'interdiction de sport jusqu'au jeudi soir. Mince, moi qui avait justement prévu le fameux footing ainsi qu'un peu de home trainer ou un trajet vélo jusqu'à Grenoble. Tant pis donc, une semaine light et reprise par de la piste.

Jeu 24/2: Sprint mixte (~13km, 1h08): Une série de 300m r30s, 200m r20s, 100m r15s. Puis 1'30 de récup avant une nouvelle série, mais dans le désordre au bon vouloir du coach. Le tout 6 fois. L'ordre cité étant le plus facile, toutes les autres nécessitent d'enchainer un 100m au taquet avec soit 200m ou 300m, chaud.

    Dès l'échauffement et les éducatifs je sens que j'ai les ischios qui râlent encore pas mal. Je pars comme une balle sur le premier 300, ensuite mes temps se stabilisent et j'arriverai peu ou prou à les tenir jusqu'au bout. J'accroche Mickael sur le début, mais quand il intensifie son effort je suis finalement obligé de le laisser partir et fini la séance avec Christophe, Luc & Samuel.
  • S1: 54.9, 37.7, 16.7
  • S2: 35.6, 16.7, 58.1
  • S3: 17.1, 57.9, 35.6
  • S4: 17.0, 35.7, 56.5
  • S5: 36.8, 57.1, 16.6
  • S6: 55.9, 17.3, 38.1
    Je maintiens plutôt bien mes chronos, mais par contre je vais vraiment piocher question récup, passé la 3ème série j'ai les jambes explosées, au point d'avoir du mal à faire 1 tour de stade en footing à la fin. Mais pas de courbatures particulières le lendemain, le sprint ça laisse finalement peu de traces.

Sam 26/2: Un bon fractionné avec Cédric. Layon, coteau du Languedoc, bières pour mater les anglais nous corriger, rhum du Guatemala, et une Chartreuse pour aller dormir. Il me fallait bien ça pour me préparer aux semaines qui vont venir.

Dim 27/2: (1h, 9.5km / 300D+). 5cm de neige au réveil. J'sais bien que c'est encore l'hiver, mais la seule explication logique est que Damien doit être en train de faire sa dernière sortie longue avant le Vulcain. Tant bien que mal j'arrive à caser un footing d'1h après déjeuner. Le bide un peu lourd, c'est pas l'idéal mais c'est toujours ça. Et puis ça sera peut être ma dernière sortie neige, j'en profite.

    La récup se fera dans l'avion, Cdg, puis Singapour. Quelques semaines de déplacement pro qui vont un peu perturber l'entrainement. Je verrais ce que je vais avoir à disposition pour tenter de bosser un peu de cardio, et si possible un peu de jambes aussi. C'est pas gagné, les déplacements avec 12h de taf par jour, c'est toujours plus enclin à te faire visiter les bars proche de l'hotel, que les salles de sport :)

   La ligne éditoriale va donc revenir quelques temps à ses origines, à savoir les tribulations d'un expat. Après l'Inde en 2008, c'est donc en Malaisie que je vais trainer mes basques cette fois, juste en face de l'ile de Singapour. Stay tuned...

mercredi 23 février 2011

3D Test: je trail donc je suis?

   Le réveil sonne comme un jour de semaine. Coup d'oeil par la fenêtre, une mare inonde la cour. Je maudit le dieu Gébré, son fils Kilian, et mettrait bien tous les saints Jacques au composte. Douche quand même, sinon j'émergerai pas. Quelques céréales, une banane, je file en direction du sud Grenoblois pour rejoindre les 3D. C'est quoi déjà? Ah oui, j'ai le premier: "Défi". La course à pied un dimanche matin sous la drache, c'est un défi. Et déjà une certitude de longue date, en soirée ou en nocturne sans problème, mais je ne suis certainement pas un traileur du matin.

   Programme du jour, l'avant première d'une séance qu'ils comptent organiser avec Endurance Shop. Un parcours sélectif découpé en 8 spéciales, afin de déterminer nos points forts, nos points faibles, et vice versa. Sur route c'est relativement simple, un test VMA permet d'identifier facilement son potentiel. En trail, la diversité des terrains fait que c'est plus compliqué.

   Bien sûr on à tous un certain nombre de courses au compteur et une certaine idée de la chose, mais les impressions sont parfois trompeuses et rien de tel qu'un chrono pour confirmer -ou pas- le ressenti. Échauffement en douceur, une p'tite bosse pour se préparer, la ruisselante excite la tendance de certains participants à marquer leur territoire. Premier des nombreux arrêts pipis de la journée. Si vous voulez le parcours, suivez la trace...

Section 1: Parcours cross. Mise en jambe par du roulant à l'approche de nos vitesses VMA. Le chemin bien détrempé me fait penser à un parcours de cross. Départ sans réelles sensations, comme en course j'ai toujours du mal à me mettre dedans. Après 2'30 je double Caro partie 30s avant moi, et résiste au retour de Thierry parti 30s derrière. Remy a ouvert la trace et nous attend pour signaler la fin de la section. Dam ferme la marche. Le terrain est donc bien gras et il faut trajecter un peu pour éviter de trop patiner. Plus de 20s de perdu sur les chronos de Dam et Remy, je sais que je n'ai pas retrouvé toute ma vitesse mais trouve le verdict un peu sévère. Je m'attends au pire sur la suite qui m'est à priori moins favorable.

Section 2: Montée Trail. Après une liaison en footing de récup, on attaque en bas d'une montée bien franche. Le genre qui passe en force à l'entrainement, mais que je marcherai sans hésiter en course. Avec une vitesse moindre j'ai vite Caro en ligne de mire, ça me motive bien. En petite foulée je m'en sors pas mal et arrive à remonter, une partie plus raide au milieu m'oblige à marcher un peu mais j'arrive à relancer dans le final. Assez content de moi sur le coup, je pense avoir limité la casse.

Section 3: Descente Trail: Les descentes, c'est pour moi. Encore faut t'il le vérifier. Un bon pourcentage en single dans les bois, rendu bien glissant par la pluie. Départ dynamique sur la partie haute, la suite est franchement patinoire et je m'amuse. J'ai pourtant pas l'impression de prendre de risque particulier, ça chasse à chaque pas mais la vitesse est quand même limitée et une glissade dans ces conditions ne fait pas de mal. J'ai d'ailleurs l'occasion de le vérifier avant d'arriver en bas. Sur 3' je reprends un paquet de secondes sur Remy et Dam déjà pas mauvais dans l'exercice. Mon poids plume est évidement un gros avantage sur ce terrain gras et aux multiples dévers, je me fais moins emporter par la pente. Par temps sec l'écart serait peut être moindre.

Section 4: Montée de barge: Le truc que je redoute le plus, la montée où il est impossible de courir, et même marcher est pour moi un enfer. Ya pas, j'ai beau essayer tout type de technique, ça veut pas. Je garde Caro en vue au départ, mais sur la deuxième moitié encore plus raide et où l'on s'aide des mains, je suis scotché. Les mollets sont durs comme du bois, je ne m'économise pourtant pas mais je peux vraiment pas faire mieux. Je termine bon dernier de cette section, et de loin. Ah tiens, j'ai retrouvé le deuxième: "Dévinelé". Bon je ne suis pas un traileur de montagne, c'est pas une surprise.

Section 5: Descente de barge: La même, mais cette fois en descente. La pluie a rendu les rochers de la partie haute ultra traitres, et sur la première section il est impossible de tenter quoi que ce soit, prudence de rigueur. Mon gant s'accroche à un buisson, je perds 3s à le récupérer, m’énerve, et le manque d'attention se paye illico sur le rocher suivant: cul défoncé. Ok. J'en termine avec la section rocheuse et peux me lâcher sur la deuxième partie bien rigolote, mais qui met rapidement les cuissots en feu. Ça passe sur la distance relativement courte, mais je manquerai vite de guiboles pour continuer à ce rythme plus longtemps. A l'inverse de moi, Thierry qui n'a pas l’âme d'un descendeur (ça se travaille, faudrait qu'on te briefe), est cette fois à l'agonie.

Section 6: Montée roulante: Une montée relativement douce, max 12%, mais on court depuis plus de 2h et ça commence à se sentir. C'est de la montée ou je me sens généralement pas trop mal, j'en bave et fait exploser le cardio, mais tout passe en courant avec une foulée courte qui me correspond bien. C'est typiquement le type de section où je n'ai par contre aucune certitude, et où le chrono pourrait bien me démontrer l'inverse de ce que je crois.

Section 7: Descente roulante: Pas la même, mais le même genre. Là je m'attends par contre à être moins à l'aise. Il faut de l'allonge et de la vitesse sur ce type de descente, il n'y aucune particularité technique, mais la pente n'est pas suffisante pour se laisser emporter et il faut envoyer du gros, la foulée tape fort.

Section 8: Plat roulant: Une nouvelle portion roulante pour déterminer notre facteur d'endurance et la gestion de l'effort. Après plus de 2H30 de crapahutage dont une bonne partie au taquet, la fatigue est présente, les jambes ont un peu morflés, le terrain colle aux basques. Fallait pas oublier le troisième D -  "Distance". . Je rattrape Caro assez rapidement, son manque de foncier se paye chèrement sur ce type d'effort. Je pioche moi même sévèrement à partir de la moitié, mais trouve le fight spirit pour tenir jusqu'au bout, plutôt satisfait.


Bilan: C'est pas encore cette année que je gagnerai le Grand Duc, je le savais avant de venir. Plus précisément, nous n'étions que 5 pour cette reco, et si certaines tendances sont évidentes, les données récoltées sont trop limitées pour faire une analyse définitive de nos particularités. Par exemple mon temps est bien inférieur aux autres sur la première descente. Cela rend la perf de Dam et Remy plutôt moyenne, alors que je pense qu'ils sont eux même supérieurs aux autres sur ce type d'exercice. De même avec 4 types accro à la VMA, les perfs de la pauvre Caro dans les parties roulantes ne sont pas forcément à sa juste mesure.

    Même si Remy ne se base évidement pas sur les chronos bruts pour établir une hiérarchie, avec un nombre de participants plus important et des profils plus disparates, l'analyse sera d'autant plus pertinente. Je compte d'ailleurs bien revenir lors de la journée officielle pour confirmer tout ça. Pour ceux que ça intéresse, suivez évidement le blog de 3D Trail et celui d'Endurance Shop Grenoble, cela sera annoncé.

lundi 21 février 2011

Sem 2011/08 - En Bref

Lun 15/2: Plouf 2011-4 (1950m, 1h10), Un gros plouf bien physique avec quelques exercices de PMA rigolos.

Mar 16/2: 2 * 8 * 40/30 (1h13, 14km). Le gros péchon. Ya des jours comme ça, c'est la grosse patate, sans explication. Dès l'échauffement je me sens à l'aise. Et si je n'ose m'accrocher aux fusées qui pour la plupart ne feront de toute façon qu'une série, je fait la séance avec Luc & Seb mais je sens vite qu'aujourd'hui je suis un ton au dessus. Facile côté cardio, facile côté musculaire, je relance comme je veux dans les bosselettes, me laisse distancer en récup et fini devant, facile quoi. Si ça pouvait être toujours comme ça...

Mer 17/2: Rien. Mais alors facile question courbatures des ischios :))

Jeu 18/2: 3*300-3*800-3*200-3*600 (1h11, 12.5km). Les séances se suivent et ne se ressemblent pas, le pechon de mardi n'est plus là. Echauffement un peu écourté, je prend la mesure sur les 300 mais je ne déborde pas d'énergie. Avec Luc on se relais sur les 800, lui d'abord moi dans le final, je suis un peu mieux mais je le paye fort sur les 200 qui suivent. Incapable de récupérer, je m'écroule.

   Même si les 600m étaient optionnels et quasi tout le monde en termine là (sauf Thibaud en solo, bien costaud sur cette séance), je suis franchement deg de finir ma séance comme ça. Et puis mon sauveur est là, Christophe en termine des 200m avec Samuel et Philippe, et me propose de les accompagner "un rythme en dessous". J'ai eu le temps de récupérer un peu et l'idée me plait bien, alors banco.

   On part pour le premier 600 sur un rythme pas si tranquille que ça puisqu'on passe aux 400 dans le même temps que sur mes 800m, je m'accroche comme je peux. Puis on se relais sur les 2 derniers en améliorant un peu nos temps. Il va même jusqu'à me provoquer dans la dernière ligne droite, mais je crois que j'ai tout donné. En tout cas je suis du coup bien satisfait de la séance.


Chronos: 300 (1'03.8, 59.5, 58.7) - 800 (2'46.5, 2'45.5, 2'45.1) - 200 (37.8, 39.4, 41.3) -  600 (2'08.3, 2'06.3, 2'04.1)


Dim 20/2: 3D Test (3h37, 25km, 800D+). Moi qui trouvait mes séances du week end un peu courtes, cette fois je suis servi. Une bien belle sortie dans le sud Grenoblois avec les bien beaux amis de 3D Trail. Un sympathique parcours varié découpé en spéciales, sous un magnifique temps pourri, de la flotte tout du long. Me suis bien marré et m'en suis mis plein les cannes. J'vous raconte ça plus tard.

lundi 14 février 2011

Plouf 2011 - 4

   Gros plouf bien physique... Et encore j'ai écourté les 400m de battements de jambes ou j'ai parfois l'impression de reculer. J'comprend pas comment certains avancent 2* plus vite que moi.

   Par contre j'suis pas mauvais dans les 25m au taquet, surtout sans palme d'ailleurs (toujours ces satanés guiboles qu'avancent pas). Là, malgré le manque de technique, les séances VMA de CAP font que j'arrive à faire grimper le cardio peut être plus facilement que les autres. Ça serait sans doute différent sur des 50m ou 100m, je m'épuiserai avant d'arriver au bout.
  • 600m échauffement: 100 C, 50 B, 100C, 50 D, 100 C, 50 B, 150 C.
  • 300m jambes de crawl, respiration longue. L'enfer.
  • 300m éducatif crawl: (25 poings fermés, 25 "polo", 25 p'tit chien, 25 complet)  * 3
  • 400m palmes
  • 200m speed: 8 * 25m avec palmes, récup 45s
  • 50m speed: 2* 25m sans palmes
  • 100m récup cool

dimanche 13 février 2011

Sem 2011/07 - En Bref

   Semaine avec des restes de gastro qui me verrouille toujours un peu le ventre. Mais bon trop de beau temps, et puis faut bien reprendre.

Lun 7/2: Déjà qu'en forme c'est limite, là je sens que je tiendrai pas la moitié du cours de piscine. Je décide donc de monter tranquillement au Murier pour voir comment mon ténia réagit dans l'effort. Montée régulière par la route, un beau 650m/h. On s'incline. Descente tout autant au taquet, 1500m/h. On applaudit et on fait tourner les serviettes.

Mar 8/2: Cuisses tiraillées de la veille, c'est pourtant pas ce que j'ai forcé. J'pars un peu tard du taf et attaque une montée aux batteries hautes en express. A l'attaque de la combe Chaberte, un coureur débarque de la droite et enquille ma foulée. Aille. La combe est forcément montée dare dare, 1400m/h pour 6' de grimpette (au sommet, avant de descendre vers le bitume). J'ai les cuisses en feu, mais alors grave. Je continue sur ma lancée jusqu'au bout de la route, puis heureusement il prend un autre chemin, je peux relâcher un peu. Ouf. Au final on se retrouve au mamelon, lui est passé par la route du lavoir vers le col gourlu. On fera la redescente ensemble mais plus cool, c'est en fait un collègue d'un autre site.

Mer 9/2: Forcément ça tire un peu. Récup tranquille via un trajet vélo jusqu'à Meylan pour récupérer une nouvelle paire de semelles orthopédiques. Le podo à bossé sur le poids, sans sacrifier la correction ni l'amorti. Bilan, 88gr la paire au lieu de 132, et ~45gr pour les semelles de propreté d'origine. Chouette.

Jeu 10/2: Les crosseux sont condamnés aux diagonales, on n'est donc que 5 pour une séance dans le parc. 5 * 4' au programme. Pierre mène la danse, Mickael en reprise pas loin, ma pomme et Samuel derrière, avec un vétéran dont j'ai pas encore le nom. Première ok, j'ai l'impression de coincer un peu sur les 2 et 3ème fractions, mais c'est en fait Pierre et Mickael qui ont probablement accéléré. En résistance, je pars "comme une dernière" pour la 4 et ça passe plutôt bien. Je tente donc un gros coup sur la 5ème en m'accrochant le plus longtemps possible à Pierre. Mickael accuse un peu le coup mais réussi à rester au contact en coupant légèrement. Belle reprise pour lui. Allures indicatives (nouveau pod non calibré): 14.9, 15.1, 15.0, 15.2, 16.3

Sam 12/2: Première sortie longue de l'année. Oui bon, 1h30 quoi, c'est déjà long. J'passe prendre Eric et on se fait une variante inédite de nos chemins habituels, l'Arsenal, remontée à la croix des Cochettes, puis le Chatelard. Une quinzaines de bornes pour 400 de déniv. Je me trouve étonnamment frais et arrive à rester au contact d'Eric dans les montés, ce qui n'est généralement pas le cas. C'est vrai qu'il court peu en ce moment. Par contre il roule désormais en Hoka, et l'effet est immédiat dans les descentes. Le temps que je récupère un peu de jambes, de gainage et de confiance (ou que je lache le frein à main comme dit Guitoune), je sens qu'on va bien s'amuser :)

Dim 13/2: Inter-regionaux de Cross. En spectateur / photographe.

samedi 12 février 2011

Inter Regionaux de Cross

   Un dimanche à Annonay, les inter en spectateur, ça donne quoi? Une meute de langues pendues où le plus lent devait avoir une VO2max de 70, sur un beau parcours cross comme on les aime. Un peu de plat autour du stade, puis de belles collinettes et relances, passages dans les bois, le tout en 5 boucles, un régal pour le public.

   On se déplace en famille(s), et on rate donc forcément les féminines. Dommage, elles ont fait une belle course. La suite se fait à travers l'oeilleton de l'appareil photo. J'ai toujours un peu de mal à me concentrer sur les compo / focale / obturation (tout en donnant un peu de la voie pour encourager), et suivre en même temps l'évolution des classements. Enfin voilà ce qu'en ai retenu:


Hassan Chahdi
  Encore espoir, et tellement vainqueur. Il part doucement, ne pointe que dans les 20 à la sortie du stade, et il faut attendre un tour avant de le voir en tête. No stress, je pense qu'il ne doute pas un seul instant de sa supériorité. D'ailleurs les autres non plus. Je ne sais plus qui a commenté à l'arrivée "on savait qu'on se battait pour la seconde place, et qu'il partirai quand il aurai envie".

  De fait, la course se fait à 4 pendant la première moitié de course, puis Monsieur Hassan s'envole. L'écart à l'arrivée n'est pas énorme, 7 petites secondes. Mais c'est largement suffisant.

 Treizième aux France l'an dernier, il remporte en fin d'année le championnat d'Europe espoir. Il sera interessant de voir sa progression parmi l'élite cette année.

  Autres photos: 25, 112, 66, 249  

Thibaud Nael

   Costaud le monsieur, il impressionne par sa puissance. Tout de suite aux avants poste, il fait la course dans le groupe de tête jusqu'au bout, et se place, comme aux régionaux, en dauphin d'Hassan suite à l'accélération de ce dernier. C'est d'ailleurs le seul à vraiment rester au contact.

   En cross court l'an dernier, c'est sur le long qu'il montrera les couleurs d'Andrezieux cette année.

   Autres photos: 5, 27, 114  









Etienne Diemunsch

   La star du peloton. Après peut être Hassan, c'est sans conteste le garçon le plus encouragé par le public. Crosseur, Duathlète, Triathlète, Traileur, c'est un touche à tout, mais toujours devant.

   Il passe avec 7s de retard sur Pantel et Merzougui en haut de la bosse, et fait un dernier tour de folie pour compléter le podium avec 17s d'avance sur ces derniers. 

   Autres photos: 6, 27, 69







Le Podium


Dans les 10
Pierrot Pantel, Hakim Merzougui, El Houssin Mouzoun, Julien Masciotra, Laurent Gigante, Carlos Da Silva




  Tout plein de félicitations au potes d'entrainement, on va pas aller jusqu'à dire que je vous enviais, mais ça faisait bien plaisir de voir cet arrachage de tripes généralisé. Oui bon, sauf Thibaud, comme quoi on peut encore faire le touriste aux Inter :p. Dommage que certains n'étaient pas au mieux pour défendre leur billet mérité pour les France. Et puis un bravissimo tout particulier au Dam d'abord pour sa belle course, ensuite pour m'avoir fait l'honneur des plus belles photos de l'album (quoique le coach est pas mal non plus) :) 

Dam "Volverine" Vogoy'
 
  L'intégralité des photos se trouvent là: Photos Belblog. Usage libre, mais merci de mettre un backlink sur ce site en cas d'utilisation sur site/blog.
 

dimanche 6 février 2011

Sem 2011/06 - En Bref

   En bref, et même très très bref.

   Lundi un décrassage des régionaux à la piscine, ça tire un peu les ischios mais pas pire. Mardi ne pouvant aller au club, je prévois une reprise douce qui est même certainement plus raisonnable, avec un footing autour du boulot, peut être une petite montée au Murier.

   Mais sur le coup de 11h, grosses douleurs dans le bas ventre, il fait froid et je sens pas trop le passage en force. L'aprem d'énormes crampes me traversent le bide, et je rentre tôt à la maison. Après une nuit des plus sympathiques, bilan du toubib: "gastro sèche". Et 10j de paracétamol codéïné.

   Sur le moment j'y crois pas trop, et pense que ça sera passé avant le week end. Une petite semaine de relâche après les 3 semaines de reprise, c'est presque idéal. Et puis finalement si je ne suis plus plié en 2 comme dans la nuit de mardi, la douleur reste là, lancinante. Les boules de voir le beau temps de ce week end et de ne pas sortir une seule fois.

   Samedi, Nath est allée s'amuser au Desert Snow Trail de St Pierre d'Entremont. Un 14 km partiellement enneigé à la tombée de la nuit. Peut être qu'elle fera un CR.
  

Lun 31/1: Plouf (1h05, 1.9km).

mercredi 2 février 2011

Pompe My Ride

   Période de solde, j'ai fait le plein pour l'année, et même sans doute celle d'après. Bref, c'est l'occasion de faire un "petit" inventaire de ma garde robe. Yen a qui font tout avec la même paire et peuvent faire de la piste en chaussure de trail, moi j'suis plutôt 1 jour / 1 paire. Bon au final elles s'usent moins vite, ce qui fait que je commence a avoir un sacré cheptel. J'ai pas la prétention d'être un essayeur de chaussures, mais j'ai au moins quelques éléments de comparaison entre elles.

   Je vous ai indiqué le poids des chaussures, pesées par paire, semelles les plus "propres" possible pour celles en cours d'utilisation. Enfin sauf la Trabuco restée un peu crottée, mais de toute façon c'est la plus lourde du lot. Utilisant des semelles orthopédiques, j'ai fait la mesure avec et sans les semelles de propreté d'origine, pas toutes identiques d'une marque à l'autre.

   A noter que de part leur conception, les semelles orthopédiques que j'utilise ajoutent de l'amorti au talon et sont également sensées fournir un retour d'énergie à l'avant du pied. Enfin d'après le podologue. Ce qui est certain c'est qu'elles sont plus épaisses et plus lourdes, compter 120 à 140g la paire contre 30 à 50g pour celles d'origine. Ça fait un certain delta, même si finalement (et bizarrement?) ça ne se ressent que peu en les portant. Il doit quand même regarder pour m'en fabriquer des plus légères, tout en gardant leurs propriété de correction et de confort.

1.  Les Obsolètes
  • Asics Gel Trail Attack 5 (610 / 640) ~900 km

       Il avait fallu une bonne dose de persuasion au vendeur pour me faire essayer ce modèle inconnu et au design pour le moins discutable dans sa livrée 2008. Depuis j'en suis fan.

       C'est pour moi la chaussure de trail presque parfaite. Tout d'abord légères, 320gr. Stables, je me suis fait des chevilles, mais jamais en les portant. Confortables, même sur portions de route. La version 5 proposait un amorti assez souple qui peut déplaire, mais habitué aux Nike, qui me correspondait parfaitement. La semelle propose un accroche parfaite quelque soit le terrain, ne bourre pas dans la boue, et met totalement en confiance. Le mesh "WR" propre à Asics, pas totalement étanche, mais qui retarde la pénétration de l'eau et fait que la chaussure ne semble jamais humide, même détrempée ou dans la neige. Enfin c'est un modèle qui reste accroché aux 100€, et qu'on trouve souvent très bien soldées puisque méconnues.

       Côté négatif, la souplesse de l'amorti pouvait la rendre un peu moins confortable en terrain très difficile type pierrier, notamment sous l'avant du pied.

       Fin de vie l'été dernier après presque 1000km mais en état encore potable, amorti toujours présent, quelques légères traces d'usure en bout des scupltures, sans que ça ne se ressente vraiment sur le terrain. Je les garde en backup chez mes parents.

    Utilisation: Entrainements natures et tous mes trails de 10 à 42km 2008/2009. Gault et Darmaillacq les emmènent bien au delà.

  • New Balance M740 ( / 600). ???? km,

       La paire de la reprise en 2007, achetée à l'arrache des années plus tôt pour faire un "Elle & Lui" à Paris. Sans doute l’équivalent d'une DSTrainer aujourd'hui. A l'époque je ne jurais que par l'ultra-light, les notions d'amorti ou d'accroche m'étaient inconnues et je faisais tout avec, route un peu, nature surtout, mais le kilométrage était faible. Jusqu'à ce que Jack, emblématique ambassadeur de la marque rencontré lors d'un OFF, me fasse prendre conscience que ce n'était sans doute pas l'outil idéal pour ma pratique.

  • Nike Air Zoom Elite 3 ( 608 / 650 gr) 1100 km

       La magie du coussin d'air Zoom. Sortant des NB tassées et destroy, c'est le contraste complet, l'impression de courir sur un tapis de mousse. On aime ou pas, j'adore. Chaussures légères plutôt pour le court, l'excellent amorti fait qu'un coureur leger peut sans problème les emmener sur du marathon ou plus.

       Remisées l'été dernier chez mes parents pour les footings de vacances.

    Utilisation: Séances VMA, 10km, semi

  • Salomon XA Pro 3D Ultra ( / ) - de 150km,
      
       Achetées en urgence avant mon premier trail officiel, j'ai pris la première solde venue chez D4, une erreur. D'un je me suis gouré d'une demi-taille en les prenant trop petites (erreur classique du débutant), de deux je me suis laissé berner par le chaussant ultra confortable typique de Salomon, alors que le modèle est beaucoup trop rigide pour mon poids plume. C'est ça d'acheter sans demander conseil aux pros.

       Donc très bonne accroche à la montée, robustesse avec présence d'un gros pare-pierre, mais de vrais bouts de bois qui me flinguaient les jambes à la moindre descente. Sans parler de l'orteil qui venait se fracasser (légèrement) sur l'avant de la chaussure, chiant sur la durée. Difficile de tenir 15km avec.

       Du coup aujourd'hui je m'en sers au quotidien en appréciant le laçage rapide, ou en rando montagne où le manque d'amorti n'est pas un handicap. Mais plus question de courir avec.

2.  Les Routes
  • Nike Air Pegasus 25 (618 / 662) 30 km

       Modèle emblématique de la marque, si ce n'est de la course à pied, c'est un peu la chaussure à tout faire, une valeur sure. D'ailleurs on la trouve dérivée en de multiples modèles, standard ou étanche (GTX), a semelle standard ou plus amortie, a picots classiques ou trail (Escape), à structure renforcée (Triax), et on peut même les personnaliser au bon vouloir via le service Nike ID du store.

       L'amorti est plus ferme que sur les Zoom, plus standard, et conviendra au plus grand nombre. Mais ça ne les rend pas moins confortables, notamment sur très longue distance ou elles évitent un avachissement de la foulée avec la fatigue.

       
    Exemple de personnalisation Nike Id
    J'en avais acheté une paire méga soldée, celles du 25ème anniversaire, parce qu'il fallait que je teste le mythe. Longtemps restées dans leur boite, j'ai commencé à les utiliser cette année. Je leur préfère les Elite/Skylon sur le rapide, et les Voméro quand je veux du confort. Mais comme unique paire au boulot, c'est finalement un modèle pas désagréable pour les footing de récup, et dont les picots assez prononcés de la semelle permette une utilisation en chemin sans problème.


    Je leur trouve également une légère tendance à trop serrer le coup de pied, problème que j'ai logiquement aussi avec les Pegasus Escape, même si ça ne m'a pas empêché de courir la STL avec. C'est peut être provoqué par l'utilisation de mes semelles ortho, plus épaisses que les semelles de propreté d'origine.

    Utilisation: Footing route et nature.  

  • Nike Air Zoom Elite 4 (522 / 576) 150 km

       Totalement satisfait du modèle précédent, j'ai repris les mêmes en 2009, pour ne commencer à les utiliser qu'en 2010. Un gain de poids et toujours le même amorti, pas vraiment ressenti de différence. La semelle présente de légers picots qui permettent une utilisation en bon chemins, même si c'est pas sa vocation première et qu'elle manque de stabilité si ça se dégrade.

       A mon grand désespoir elles ne font plus partie du catalogue puisque la gamme Zoom est désormais remplacées par la gamme Lunar. La nouvelle Lunar Elite ne m'a pas convaincue lors d'un essai en magasin. La forme de la semelle, ou sa densité, me donnait l'impression d'avoir un talon plus épais à l'intérieur du pied, et donc le pied qui se barrait vers l'extérieur à l'attaque du talon. Je suis reparti sans. Mais je ne sais pas par quoi je les remplacerai et je vais les faire durer un peu.

    Utilisation: VMA, Semi, Sans doute une partie du 100km à venir.

  •  Nike Air Zoom Skylon 11 (491 / 547) 300 km

       Toujours dans la gamme Zoom, mais avec une semelle plus ferme et sans doute des coussins d'air plus réduits. Plus légères que l'Elite, on perds un peu en sensation d'amorti et on gagne en dynamisme. Semelle exclusivement route avec un bon déroulé de pied grâce aux multiples encoches, à la Nike Free. Le mesh est très respirant, limite trop l'hiver.

       J'ai peu à peu utilisé les Skylon en compétition route à la place des Elite, du moins jusqu'au semi. Elles sont désormais remplacées par les Lunar Racer, rarement vues en magasin et pas encore essayées.

    Utilisation: VMA Courte, 10km, Semi

  •  Nike Air Zoom Vomero 3 (570 / 624) 750 km

       Le modèle pullman, c'est plus un tapis de mousse, c'est un nuage de ouate qu'on a sous les pied. A part les Hoka dans une autre mesure, je ne connais pas de chaussures plus confortables. Comme en plus le chaussant est assez large, on a vraiment l'impression de prendre une paire de chaussons Isotoner.

       La semelle elle même est très moelleuse et les picots épousent le terrain, ca lui donne une bonne adhérence en chemin même caillouteux, tant que ce n'est pas boueux. L'empreinte est assez large et elles sont très stables. C'est d'ailleurs la paire que j'avais prévu de prendre cette année pour la SainteLyon, même si avec la neige j'aurai peut être changé d'avis au dernier moment. Quoique.

       Si elles ne présente évidement pas le dynamisme des Elite ou Skylon sur piste, elles sont quand même légères et peuvent soutenir une bonne allure. C'est le modèle que j'avais choisi pour mon 2ème Marseille-Cassis (20km), et j'avais bien apprécié ses qualités d'amorti pendant la longue descente casse-patte.

    Utilisation: VMA Longue, Seuil et sorties longues, Semi, Marseille-Cassis.
2.  Les Mixtes
  • Nike Air Pegasus Clima+ 2007 (612 / 669) Nov 2007, 550 km

      
    La Pegasus 2007 en version tout chemin. Le mesh est hydrophobe. Mais la semelle mixte est quand même plus typée route que trail, et on va vite atteindre les limites d'adhérence dans la boue. Un modèle d'entrainement neutre que j'apprécie pour les footing hivernaux ou dans la neige, pour garder les pieds un peu plus au sec.

    Utilisation: Footing flotte/neige



  • Nike Air Pegasus 25 Escape (596 / 640), 250 km

       Sensées être les remplaçantes des Clima, encore une paire de Pegasus mais avec cette fois la semelle plus typée trail. En les achetant je pensais qu'elles avaient le même mesh hydrophobe que les précédentes, mais ce n'est pas le cas. C'est quand même une option disponible et certains modèles en sont équipés, un truc à vérifier.

       Très similaires aux Pegasus "classiques", il n'y a que les structures de la semelle qui changent, l'amorti et le chaussant sont identiques. Sans avoir l'accroche des Trail Attack, l'adhérence est quand même correcte et ça passe partout. C'est d'ailleurs le modèle que j'avais choisi pour la SainteLyon 2009, sans regretter ce choix.

    Utilisation: Footing nature, Saintelyon 2009

3.  Les Trails 
  • Asics Gel Trabucco 11 (732 / 774 ), 200 km    

       Mon côté "victime de la mode", je ne sais pas bien pourquoi je les ai achetées, sinon qu'en fin de solde elles étaient bien bradées, comme tous les ans d'ailleurs. Sans doute un peu aussi pour tester ce modèle réputé parmi les traileurs.

       Pas de critique particulière sinon que j'ai l'impression de chausser 2 péniches quand je les porte. L'amorti gel pour plus de 80kg et footing de 150km, ca a l'air bien, mais je n'en ai pas vraiment besoin. Enfin bref, une sortie par ci par là avec ça ne fait de mal non plus, mais je sens que je les aurait encore dans 10 ans.


    Utilisation: Rame, rame, rameurs, ramez

  •  Asics Gel Trail Attack 6 (574 / 604) 200 km

       Utilisées en alternance avec les TA5 le temps de les finir, je les prenait au début en compétition uniquement. Grosso modo la même chaussure avec les mêmes points fort, encore un peu plus légère mais difficile de le sentir. Amorti un peu plus ferme, plus "classique", ça ne la rend pas moins confortable et elle devrait mieux supporter les terrains difficiles. Crampons légèrement modifiés pour encore optimiser l'accroche. Enfin on peu noter une nette amélioration côté design. Si ce n'est pas ce qu'on leur demande en premier, c'est quand même moins abomiffreux que le modèle précédent.

      Le chaussant est toujours agréable, mais la tige arrière semble un peu plus haute, ce qui m'aurait peut être gêné au niveau des malléoles si je n'utilisais pas mes semelles ortho. Elles ont aussi perdu le mesh "WR", c'est sans doute là qu'ils ont gagné les 20g, mais du coup les pieds mouillent plus vite.

      D'une manière générale, j'en suis toujours aussi content,  J'en ai même pris une deuxième paire en attente, que je commencerai sans doute à utiliser dans l'année, quand celles ci auront atteint les 6 ou 700km.

    Utilisation: Entrainements nature, Trails courts, Ventoux

  • Mizuno Weave Harrier 2 (596/634), 100 km

       Le modèle pour conditions extrêmes. La réponse de Mizuno à des modèles comme la Inov-8 Mudclaw ou la Salomon Speed Cross. Son terrain, la boue jusqu'aux chevilles, la neige jusqu'aux genoux. Plus besoin de Yaktrax pour un trail blanc, ni de pointes pour un départemental de cross bien arrosé.

       En conditions "normales", l'amorti est vraiment ferme par rapport à mes modèles habituels, les gros pavés crampon ne sont pas aussi souples que ceux d'une Speed Cross. Pour trail hivernal court. Le mesh est très respirant, un peu trop même, ce qui glace rapidement les pieds en utilisation neige. Cherche chaussettes étanches :)

    Utilisation : boue & neige, RTT, Trail du Suzon

  • Salomon Trail Runner SW (573 / 618), 150km

       Un p'tit modèle tout simple, pas cher, tout léger. Le chaussant agréable des Salomons, une semelle pas autant crantée que les XA Pro mais qui est suffisante pour la plupart des chemins, un amorti décent même sur portion de route. Elles n'ont pas le laçage rapide.

       Achetées peu de temps après les Trail Attack, je pensais les utiliser en alternance. Sans qu'elles n'aient rien de vraiment rédhibitoire, j'suis mieux dans les Asics, donc je les utilise peu.

    Utilisation: entrainement nature

 4.  Les soldes 2011 

   Encore dans leurs boites, à tester.
  • Asics Gel DS Sky Speed (525 / 555)

       Je préférais normalement les Elites aux DS Trainer, du moins en magasin. Mais n'ayant pas appécié les nouvelles Lunar Elite, du coup j'ai testé ce modèle qui semble pas mal, le chaussant est confortable. Donc du light pour entrainements rapides, piste, 10km, peut être du Semi si je me sens vraiment bien dedans, quand j'en aurai fini des Skylon.

       Bon normalement on s'en fou, mais en plus le orange déchire, j'ai pas pu résister.



  • Nike Air Zoom Vomero 5 (553 / 603)  

       Quelques grammes de moins pour remplacer la version 3 qui ne tiendra pas l'année. Si je suis toujours aussi bien dedans, ya pas de raisons, j'imagine les utiliser sur le Raid du Morbihan et la deuxième moitié des 100km de Millau.

       Pis on s'en fout toujours, mais elles sont jolies non? :)



   Bon et puis si un gars de chez Nike veut me faire parvenir toute la gamme Lunar (racer, elite, eclipse, glide, etc...) pour me faire changer d'avis, je suis tout à sa disposition. Tout comme je suis prêt à tester la nouvelle Trail Attack 7. Mmmh ?